Lors d’une blessure, les variables physiologiques ne peuvent pas indispensable de prendre également en compte les variables psychologiques et plus précisément la réponse psychologique associée au retour sport (psychological readiness to return to sport) pour prédire et décider – de manière interdisciplinaire – de la reprise ou non de l’activité sportive. Cette composante est évaluable à l’aide de questionnaires validés scientifiquement et le thérapeute peut influer positivement sur celle-ci à l’aide de techniques telles que progressive. Finalement, la nécessité du retour au sport est remise en de vie de l’individu. Comme nous le savons tous, la blessure est une conséquence fréquente du fait de pratiquer une activité sportive, que ce soit à un niveau amateur ou élite. Chaque année en Suisse, plus de sport, le ski alpin et le football tenant le haut du tableau en matière de blessures moyennement graves (séjour hospitalier compris entre 1 et 6 jours) et graves (séjour hospitalier de 2018). Ces blessures s’accompagnent alors fréquemment d’un arrêt de la pratique sportive, d’une durée plus ou moins longue selon la gravité de ces dernières.
Écrit pas MÉLANIE HINDI, Psychologue du Sport FSP, dans la brochure de l’association suisse de physiothérapie du sport https://issuu.com/sportfisio
